Les négociations entre la direction du groupe Total et les représentations syndicales ont été rompues le dimanche 21 février peu avant 20 h, au siège social du groupe, dans le quartier de la Défense à Paris.
L’intersyndicale (CGT, CFDT, FO, SUD), qui s’oppose à la fermeture du site de Dunkerque, avait d’abord qualifié cette concertation de « dialogue de sourds » par le biais de son porte parole le leader CGT du mouvement, Charles Foulard, s’adressant ici à la presse. « Les négociations sont rompues, nous n’avons que des propos verbaux et pas d’engagement de la part de la direction », a indiqué Charles Foulard (CGT). La CGT a appelé à « durcir le mouvement » dans les raffineries du groupe, prévoyant des tensions à la pompe dans les prochains jours.
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