Zouhoura, une jeune fille de 17 ans, a été enlevée le 13 février 2016 alors qu’elle se rendait au lycée et violée par cinq jeunes hommes issus de familles d’officiers supérieurs du Tchad. L’affaire a suscité une telle émotion dans le pays que des manifestations ont été organisées le lundi 15 février à Ndjamena, puis le 20 février à Paris au sein de la diaspora tchadienne pour réclamer « réparation pour Zouhoura ».
Une mobilisation qui a poussé le président Idriss Deby Itno à déclarer « que justice sera rendue et que plus jamais cela ne se répétera ».