Invitée à se produire le 14 mars 2018 à la Cité des sciences et de l’industrie, Parc de la Villette à Paris, Nolwenn Leroy est montée sur scène devant un millier de spectateurs venus célébrer l’anniversaire des 100 ans de la création de la Ligue contre le cancer. On la dit froide, mystérieuse, inaccessible, elle préfère se décrire comme “une taiseuse“. Et contre toute attente, se déclare “plutôt fofolle”. “Je ne suis pas du tout compliquée ou triste” déclare-t-elle dans Biba en 2015. Laurent Voulzy, son mentor, la surnomme “Cheval fougueux”. Blessée, raillée (personne ne croit au succès de « Bretonne ») parfois boudée par le public (son album « Le Cheshire Cat et moi » est un échec cinglant), Nolwenn continue de galoper. Elle est d’ailleurs devenue une cavalière émérite après s’être pris pas mal de gamelles petite. Pour l’anecdote, elle s’est cassé le nez deux fois mais est toujours remontée en selle. Et le mariage dans tout ça ? “Sincèrement, je me demande si un homme voudra un jour de moi parce que je ne sais pas cuisiner. Le ménage non plus, n’est pas mon truc ! Je ne suis pas bonne à marier !” plaisantait-elle à ses débuts dans Ciné Télé Revue.